Je vais faire court : je me suis lancée dans l'écriture d'une histoire reprenant librement des livres tels que "Narnia" ou encore "Le Pacte des Marchombres".
voici le premier extrait :
Cette nuit, je m’en souviens comme si c’était hier… Et pourtant, c’était il y a 23 ans. Quelle nuit ? Celle de mon évasion. Je me suis évader du « centre d’accueil pour enfant difficiles », j’y étais rentrée 5 ans plus tôt, et depuis j’avais été contrainte d’y rester. Lorsque je suis arrivée, l’homme qui m’accompagnait a dit que j’étais dangereuse, et que je devais être mise sous bonne garde. Ce fut fait. J’avais été placée dans une petite cellule individuelle juste assez grande pour y mettre un lit, chacun de mes fais et geste était surveillé, et la nourriture que l'on me donnait était loin d’être énergisante. Et l’on assurait régulièrement que je me souvienne qui « était le chef » en me frappant, en me torturant ou en oubliant tout simplement ma ration de nourriture. A partir de ce jour et durant les 5 longues années qui suivirent personne ne m’adressa jamais la parole, a croire que j’étais maudite… L’isolement se créa alors autour de moi et depuis la solitude à beaucoup de mal à me quitter. Cet isolement me fit grandir dans la haine de mes geôliers grâce auxquels je développais une arrogance et orgueil sans égaux. Une nuit s’en fut trop, je décidais de m’évader. Mes geôliers étant des gens peureux, il me serait simple de leur faire peur, d’autant plus que je maniais la dague « avec une habilité déconcertante » avouèrent mes geôliers des années plus tard. Sortir de cette prison ne me posa aucun problème, mais une fois dehors, je me rendis compte que je n’avais pas réfléchis à ce que je ferai une fois sortis. Malheureusement, je n’eu pas le temps de réfléchir longtemps car déjà une bande d’enfant dont la plus part étaient plus âgés que moi m’encercla. Je n’eu pas non plus mon mot à dire c’était venir avec eux ou mourir sous leur lames. Inconsciente je les suivis.
voici le premier extrait :
Cette nuit, je m’en souviens comme si c’était hier… Et pourtant, c’était il y a 23 ans. Quelle nuit ? Celle de mon évasion. Je me suis évader du « centre d’accueil pour enfant difficiles », j’y étais rentrée 5 ans plus tôt, et depuis j’avais été contrainte d’y rester. Lorsque je suis arrivée, l’homme qui m’accompagnait a dit que j’étais dangereuse, et que je devais être mise sous bonne garde. Ce fut fait. J’avais été placée dans une petite cellule individuelle juste assez grande pour y mettre un lit, chacun de mes fais et geste était surveillé, et la nourriture que l'on me donnait était loin d’être énergisante. Et l’on assurait régulièrement que je me souvienne qui « était le chef » en me frappant, en me torturant ou en oubliant tout simplement ma ration de nourriture. A partir de ce jour et durant les 5 longues années qui suivirent personne ne m’adressa jamais la parole, a croire que j’étais maudite… L’isolement se créa alors autour de moi et depuis la solitude à beaucoup de mal à me quitter. Cet isolement me fit grandir dans la haine de mes geôliers grâce auxquels je développais une arrogance et orgueil sans égaux. Une nuit s’en fut trop, je décidais de m’évader. Mes geôliers étant des gens peureux, il me serait simple de leur faire peur, d’autant plus que je maniais la dague « avec une habilité déconcertante » avouèrent mes geôliers des années plus tard. Sortir de cette prison ne me posa aucun problème, mais une fois dehors, je me rendis compte que je n’avais pas réfléchis à ce que je ferai une fois sortis. Malheureusement, je n’eu pas le temps de réfléchir longtemps car déjà une bande d’enfant dont la plus part étaient plus âgés que moi m’encercla. Je n’eu pas non plus mon mot à dire c’était venir avec eux ou mourir sous leur lames. Inconsciente je les suivis.
